Concours de circonstance!

Aymeric Martin et Guenièvre Seza

Le jour se leva sur la ville quand les habitants ce ruait dans les rues de la ville pour aller rejoindre leur occupations quotidiennes. J'avais décider de porter ma bonne vieille robe pour aller travailler dans le châteaux. J'avais attacher mes cheveux en arrière, comme j'en avais l'habitude. Dehors, le vent soufflait faiblement sur les rues de la ville. On pouvait voir qu'à chaques minutes de nouvelles personnes quittaient leur maison. Je marchai lentement pour aller faire mon devoirs de citoyens quand je rencontrai un jeune homme qui était assis sur un banc près de la taverne. Il avait les yeux plongés dans un petit carnet. Sa reliure était usée et quelques tâches le coloraient pour lui donner un aspect magnifique pour ceux qui aime bien voir les choses anciennes. Il faisait attention que personne ne lise se qu'il écrivait. On aurait dit qu'il était en pleine transe quand il écrivait. C'était son monde et il pouvait y avoir le contrôle totale. Je me rapprochai de lui lentement pour ne pas le déranger. Je ne suis pas si tyrannique que ça et j'aime qu'il ait son monde pour se lâcher et profiter de la vie. Dès que je fus quelque pas, il remarqua ma présence et leva les yeux comme si j'avais tuer une ville entière.

-Comment t'appelle-tu? Demandais-je.

J'étais vraiment fascinée par ce garçon. Il a une mine vraiment particulière. Comme si je n'avais pas le droit de le découvrir telle qu'il était vraiment. C'est vrai que j'étais inconnu pour lui, mais il devrait être en mesure de voir que je suis une personne bien, qui ne veut pas de mal à personne. Par contre, le temps me pressait et je devais me rendre au château. Je devais acheter quelque petite chose avant de m'y rendre et je n'ai pas l'habitude d'être en retard aux travail. En effet, j'avais batis ma réputation d'une bonne servante sur ma capacité à arriver à l'heure au travail. Ce qui m'avait valu tous les honneurs d'ailleurs. J'allais surement revenir le voir. Être si mystérieux n'est pas normal et j'allais découvrir pourquoi. De toute façon, je n'avais pas peur des gens qui avaient des pouvoirs magiques. J''avais un ami qui m'a appris à les apprécier et je parle de Merlin.

Aujourd'hui les chevalier et le prince Arthur s'entrainent alors Peter ma suplié de venir avec lui. Mais les armes et moi ça fait deux. En plus si jamais je fais une gaffe avec mes pouvoirs, je serais mort.Non moi je préférais regarder les habitant se reveillez et sortir de chez eux. Mes une sorte de vision me mit en transe. Je pris mon petit carnet et je me mis à écrire et déssiné. J'étais même pas constient de ce que je fesais. Mais d'un seul coup une personne mit fit sortir de cette transe. Elle s'approcha de moi et je levai les yeux. C'était elle, celle qui avait changé Arthur en un roi digne de son titre. C'était Guenièvre enfin Gwen, c'est plus rapide. Je n'en croyais pas les yeux.

Gwen : Comment t'appelle-tu ?

- Mon nom est Aymeric Martin madame, vous vous êtes Guenièvre, non ?

J'étais très content maintenant. Voir nos ancêtre en vraie, c'est inimaginable. Peter aurait du rester avec moi et il aurai vue la reine Guenièvre. Quoi qu'elle ne l'ai pas encore à cette époque. Enfin bientôt ! J'espere que nous verrons le mariage avant de revenir dans notre présent. Gwen me regardait d'une drole de façon . Peut être parce que je savais déjà son nom, j'étais peut être trop brusque.

- Je suis désolé mais c'est Merlin qui nous a parlé de vous et du prince Arthur.

J'espere que j'ai rattrapé le coup. Je regardai mon petit carnet et la le choque. Je ne le fis pas voir à Guenièvre. Je venais de déssiné Morgane, la petite soeur de Peter. Elle était habillé de cette époque et était devant la sorciere Morgane.

Je le regardai fermer son journal. Il avait l'air impressionner de me voir en ce lieu. Mais moi, j'avais toujours l'habitude de passer par ici pour aller aux châteaux et j'y passais tellement souvent que chaque personne de ce royaume me connaissait. Même le plus vilain des escrocs me connaissait. Je continuai à le regarder jusqu'à ce qu'il me réadresse la parole.

Aymeric: Je suis désolée, mais c'est Merlin qui nous a parler de vous et du prince arthur.

Merlin avait le droit de leur parler de ces choses là personne dans le royaume n'est pas aux courant. Mais, ce que je ne comprenais pas, c'est pourquoi avait-il l'air de sortir d'un autre monde. Comme si il était fascinée par tous ce qu'il y avait ici. J'avoue que moi aussi si j'aurais été dans un autre monde j'aurais été déstabiliser et j'aurais demander à tous le monde comment marche leur monde. Il continuait de me regarder et je savais que je n'avais besoin de ne rien dire pour qu'il soit subjugés encore plus.

-Heureux de te rencontrer Aymeric Martin. Tu n'as pas à t'excuser. Tout le monde me connaît par ici et si tu ne sais pas qui je suis ce n'est pas grave. Tu as surement une bonne raison. Tu dois surement venir d'un autre village ou d'un autre royaume. Là-bas, pas tous le monde me connaît. Tu as l'air sincère et c'est justement ce qu'il faut que tu garde. Il vaut mieux dire la vérité que la cacher.

Je sentais que j'avais éliminer un de ces stress qu'il avait et j'en étais bien contente. Je ne voulais pas que ce stress lui soit causer par moi. Je m'en voudrais. Il commencait à vouloir plus s'ouvrir à moi et je le sentais.