Promenade entre ami | Gwen

Gwen et Merlin

Je n'avais pas trop de travail aujourd'hui. Le roi Uther a demandé qu'Arthur l'accompagne sur la tombe de sa mère seul donc j'ai du rester à Camelot. Il m'avait donné une liste de corvée mais un peu triché pour y arriver plus rapidement. Bha quoi ? Quand on a des pouvoirs, c'est mieu de les utilisés ! Et puis Gauis n'était pas derière moi pour me l'interdire alors... Donc je venais de finir le nettoyage de son armure, j'ai rangée sa chambre, j'ai nettoyée les écuries. Je crois que c'était tout sur la liste. A non, j'avais oublié il m'a surtout dit une chose - A force je l'a connais par coeur la phrase - " Surtout fait bien attention qu'il n'arrive rien à Gwen sinon ... ". Biensùr que je vais veyer sur elle, c'est ce que je fais depuis qu'il est amoureux d'elle. Je lui répondis en lui donnant un grand sourir jusqu'aux oreilles et il partit avec son père.
Enfin tout ça pour vous dire que j'étais libre de ma journée - Enfin du moment que je ne croise pas Gauis sinon il m'en trouvera du travail. Alors je décidai de me promener dans la cour intérieur. Il fesait beau aujourd'hui, les oiseaux chantaient tous en coeur et le vent qui fessait bougé les feuilles des arbres était remarquablement doux. Les habitants étaient tous de bonne humeur. Puis je vis les cheveux d'une femme que je connaissais bien.

- Gwen, comment vas-tu ? dis-je en me rapprochent d'elle

Depuis que Morgane est partit de Camelot, après avoir tenté d'être la reine. Guenèvre avait moins de travail puis ce qu'elle était sa servante. Mais quelque fois, je lui proposait de s'occupé de la chambre d'Arthur pour qu'ils se voyent s'en être trop dérangée. Elle était habillé d'une longue robe vert et ses cheveux étaient détaché. Elle avait une fleur jaune posé sur sa chevelure. Comment fessait-elle pour être toujours aussi bien habillé pour le travaille de servante. Elle ne se salissait jamais.

J'aimais regarder les feuilles qui bougeait au rytme du vent. Ça me relaxait et je sentais que j'étais libre. Je quittai mon travail du quotidien et je faisais le vide dans mes pensées. Après une longue journée de travail, soit je faisais une marche à l'extérieur ou je lisait un des livres que la bibliothèque du château pouvait m'offrir. Mais, je n'en avais pas toujours le temps. Ce qui m'attrisait un peu, mais c'est sa le travail d'une servante. Servir son royaume ou plus particulièrement celle donc on a la charge. Je m'étais assez bien habillée pour faire le ménage, mais j'avais besoin de ça pour me sentir à mon aise. Mes cheveux volaient dans le vent du sud qui soufflait et j'y avait mis une fleur jaune que je venais de cueillir et qui mettait en valeur ma robe verte. Tous le monde pouvait comprendre, à cette instant, pourquoi j'avais conquis le prince par les sentiments. Je sentis des pas derrière mon dos et je me retournai. Mon ami Merlin se tenait derrière moi.

-Comment vas-tu? Demandais-je sur un ton enjouée.

Il avait l'air concentrée sur ma tenue. Une telle tenue vestimentaire méritait effectivement d'être regarder. J'étais très vite pour me préparer le matin et j'avais toujours une allure déconcertante. Des oiseaux venait se poser sur les branches. Il avait l'air d'aimer que je sois aussi près d'eux. Je ne savais pas ce que je faisait auc oiseaux, mais dès que je suis toute petite, il vienne toujours me voir. Même si je n'ai pas de nourriture pour eux, il apprécie le contact que j'ai avaec eux. J'étais un individue calme et je montrai bien cette impression.

-Les oiseaux me viennent comme si j'avais toujours été un arbre. Dis-je. Je les aiment beaucoup.

Gwen et Merlin

Elle se tourna et me vit, puis me demanda comment j'allais. Elle avait du ne pas entendre la même question que je lui avais posé juste avant. J'étais heureux de la voir, on se croisait peu en se moment alors ce voir pendant notre temps libre me redonnais le sourire. Elle regardait un arbre alors je fis de même. Des oiseaux s'y poserent sur la branche la plus haute et nous regardaient. Certains chantaient d'autre se rapprochaient de nous pour ce poser a un mètre même pas de Gwen.

Guenièvre : Les oiseaux me viennent comme si j'avais toujours été un arbre. Je les aiment beaucoup.

J'en étais persuadé. A chaque fois que je la vois en dehors du château, des oiseaux se trouvent près d'elle. Elle les attirent comme une fleur attire les abeilles ou le miel qui attire les ours... Je pense que vous avez compris.
Nous nous approchons vers un banc ou nous nous assayons. Je ne savais pas par quoi commencé. Puis je pris la parole.

- Alors que fais-tu de beau aujourd'hui ma cher Gwen ? Je lui souris comme toujours, comment ne pas lui sourire. Avec tellement d'épreuve parcourue ensemble je trouve cela normal.
Je regardais les gens tout au tour de nous. Des habitants de Camelot qui se dépêchaient pour aller travailler ou faire quelques courses. Une vielle femme boitait et fit tombé son sac de pomme et le jeune homme à côté d'elle lui ramassa aussitôt. Si personne ne l'aurait fait j'y serais allé, mais pour une fois que quelqu'un était aller plus vite que moi. Je tournais ma tête vers Gwen qui fixait un autre arbre avec d'autres oiseaux. Elle n'avait pas entendu ma phrase alors je lui répétai.

- Alors que fais-tu de beaau aujourd'hui ?

Il était si fascinée par les oiseaux qui se regroupait sous mes charmes que je regardai la branche de l'arbre où tous les oiseaux c'était regroupés la première fois. Il était si heureux que je sois près d'eux. Leur gazouillement m'inspirait la confiance et le respect. Pour eux les choses superficielles sont sans importance. Les seuls choses qui sont importante pour eux, ce sont leur instinct. Malgré que parfois, les sentiments sont utile pour juger de l'instinct, mais en règle général, l'instinct guide. Merlin se tenait toujours en arrière de moi, mais je m'en rendais à peine compte. Il me dit quelque chose et je ne répondis pas. Je ne l'avais pas entendue. J'étais concentrée sur leurs gazouillement divins. J'entendis à peine le sac de pomme de la jeune femme qui tombait par terre. Je vus seulement ,en coin, que son sac de pomme était tomber, mais je restai concentrer sur les oiseux.

-Alors que fais-tu de beau aujourd'hui? Demanda Merlin.

Je l'entendis à ce moment-là. Je me retournai et le regardai dans les yeux. Regarder dans les yeux des gens, sa me fascinait autant que les oiseaux. Pour moi, les yeux sont le reflet de l'âme. Je vois si quelqu'un est sincère dans ces yeux. Tous les gens qui ont mon respect, sont mes amis.

-Je regarde les oiseaux en me promenant. Si tu veux les regarder avec moi, sa me ferais plaisir. Je pourrais même t'en faire prendre un. Ils viennent à moi comme des mouches.

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