Dans toutes les larmes s'attarde un espoir. || Merlin ||

Il était tard, le soleil se couchait lentement sur Camelot. Les ténèbres allaient bientôt tomber mais, cela n'arrêta pas la course d'Hermione Aubigné. N'ayant plus calèche, ni chevaux, elle se contentait de courir jusqu'à en perdre haleine. Courir comme si le diable était sur ses pas ! Seule en plus de cela. Tel une biche qui essaye de fuir les chasseurs, elle sautaient, traversaient les sentiers, champs et vignes. Enfin, elle arrêta sa course effréné et repris son souffle un peu avant sa destination finale. Elle devait être présentable pour pouvoir accéder à sa requête mais, le temps pressait elle partit donc cheveux en batailles et parures salit devant les garde du Château de Camelot. A sa vue, les gardes s'empressèrent de lui barrer la route. Il fallait sans douter, les deux hommes costaud et trapu commencèrent à lui poser des questions. Qui était-elle ? Elle n'avait rien à faire ici ? Qu'est qu'elle voulait ? Il la prirent pour une mendiante, le sang de la demoiselle fit alors qu'un tour. Jamais encore on l'avait autant insulter ! Elle jeta la pièce qu'on venait de lui donner et s'empressa de répondre aux gardes. Ce qui,évidemment, n'arrangea pas les choses. Voyant que le temps pressait, Hermione s'empressait de jouer son tact exquis et de faire une pirouette de rattrapage. Après avoir flatter les égos des gardes, elle demanda à voir un dénommé Merlin. Les gardes, éclatèrent de rires, ils étaient sans doute d'humeur taquine car, ils lui répondirent qu'il n'existait aucun Merlin dans le château de Camelot. Bon sang, se rendait-ils compte qu'une femme était à l'agonie au village ? Qu'Hermione faisait tout pour la sauver ? Cette femme n'était d'autre que la mère de la demoiselle. Elle s'était blessée avec sa serpe lors de son travail. Elle saignait et Hermione impuissante ne savait pas quoi faire hormis chercher de l'aide vers une personne ayant minimum pensait-elle des compétences en médecine. A Camelot, la jeune demoiselle ne connaissait personne excepté le valet du Prince: Merlin et Peter Parkins mais, elle ne savait où trouvait ce dernier. Il n'était pas dans les habitudes de la jeune fille de demander de l'aide mais, là c'était un cas d'extrême urgence. Le seul membre de sa famille avait des chances de mourir d'un instant à l'autre. A cette pensée, Hermione fondit en larmes devant les gardes qui ne cachèrent par leurs surprises. L'un des deux quitta son poste pour partir chercher Merlin, enfin c'est ce qu'espérait Hermi, tandis que l'autre resta muet face à la jeune demoiselle en larmes. Il devait sans doute être célibataire pour ne pas tenter consoler une demoiselle en détresse. Quand Hermione entendit des pas, elle effaça sur son visage les dernières larmes sur son visage lisse et soyeux. Même dans ces situations, elle n'oubliait pas sa fierté, et pour elle c'était une honte que de montrait à ces amis sa détresse et ses larmes. Après tout même pauvre et dépourvus de ses titres, Hermi n'oubliait pas ce qu'on lui avait impliquer et d'où elle venait c'est-à-dire de la noblesse. Quand elle vit enfin Merlin en face d'elle, Hermione ne put s'empêcher de sourire plus par soulagement que par joie de le voir, ce n'était pas méchant loin de la cette idée. En vérité la jeune blonde était trop inquiète pour se mère pour se préoccuper que de quoique se soit d'autres.
Si elle avait pu, Hermione se serait mis à genoux et aurait baiser les mains de Merlin tant elle était contente de le voir enfin arriver. Mais, sa fierté était telle qu'elle ne fit rien de cela. D'ailleurs, elle resta coie et ne mouvait ni œil, ni bouche. Sans doute on eut crut qu'elle était tombé muette en voyant arrivait son sauveur. Enfin elle reprit ses esprits et retrouva la parole en même temps:

Merlin ! Soyez bénie ! Le temps presse, vous devez m'aidez je vous en supplie !

L'affolement de la jeune demoiselle était assez flagrant. Elle reprit la parole en lui expliquant que brièvement ce qui c'était passé:

Je ne sais à qui m'adressais, je vous payerez évidemment mais, ma mère se meurt peut-être. Elle s'est blessée, je ne sais que faire alors j'ai courus jusqu'ici dans l'espoir que vous viendriez sauver la dernière membre de ma famille...

Ces yeux larmoyants, son visage implorant elle était le sentiment même de la pitié mais, elle n'en fit guère attention pour le moment, tout ce qu'elle souhaitait c'était que le jeune homme la suive sans tardé. Car du château au village il y avait tout de même de la marche. Bien qu'en courant un peut, ils arriveraient sans doute à temps.

[HJ: Si ma réponse te plait pas je peux toujours changer Smile

]

Merlin était avec Gauis, entrain de préparer une potion pour le chevalier malade quand il vit par la fenêtre un garde courir vers les escaliers du château. Se demandant pourquoi ce garde se précipitait-il , il sortit aller à sa rencontre. Le garde, voyant le jeune homme, cria de le suivre le plus vite possible. Merlin s'exécuta même si il ne comprenait pas pourquoi, si une personne était malade, ce ne serait pas lui que le garde serait aller chercher mais Gauis le médecin de la cour. Arrivant au porte du château Merlin vit un garde puis devant lui se tenait une jeune demoiselle. Merlin la reconnue, c'était la fille du Duc d'Aubigné mais celui-ci est mort il y a quelque mois en voulant aidé Uther a reprendre son trône. Le jeune homme s'avança a la rencontre de la demoiselle.

Hermione :-- Merlin ! Soyez bénie ! Le temps presse, vous devez m'aidez je vous en supplie !

Merlin ne comprenant pas la requête de la jeune demoiselle attendit qu'elle reprenne son souffle puis elle lui expliqua :

Hermione :--Je ne sais à qui m'adressais, je vous payerez évidemment mais, ma mère se meurt peut-être. Elle s'est blessée, je ne sais que faire alors j'ai courus jusqu'ici dans l'espoir que vous viendriez sauver la dernière membre de ma famille...

Le jeune homme accepta d'aider Hermione Aubigné pour sauver sa mère. La jeune demoiselle lui prit la main et commença a courir en direction du Nord. Merlin comprit que c'était très urgent et qu'il fallait se dépêcher mais il ne savait pas comment. La dernière fois qu'il avait essayer de soigné une blessure, elle c'était aggraver, c'était pour le petit Mordred. Mais heureusement, le jeune sorcier avait son grimoire dans son sac, peut être trouvera-t-il un sortilège pour aider la jeune veuve du Duc. Mais il ne faudrait pas que la demoiselle le voit, étant autrefois dans la noblesse , elle pourrait très bien le dire à Uther ou même au prince.
Après quelque heure de marche et de course, les deux jeunes se posèrent un moment dans la foret, la nuit était tombé et il serait mieux de camper ici.

-- Nous devrions camper ici cette nuit, il serait trop dangereux de continuer notre course dans la nuit. Je vais aller chercher du bois pour faire un feu, j'ai une couverture dans mon sac, utilisé la pour vous réchauffez.

Merlin se leva et commença a récupérer des brindilles pour le feu.

La réponse du valet ne se fit pas attendre, il acceptait d'aider une fois de plus la demoiselle. Hermione ne perdit pas une seconde, sans même jetait un regard en arrière elle prit la mains de Merlin et partit vers le Nord. Ils traversèrent les sentiers, les champs, c'était une course contre les ténèbres car, le soleil se couchait. Il semblait même qu'il se couchait à une vitesse plus élevée que quand Hermione avait quittée son toit. Entres-temps, la jeune blonde avait lâchait la mains du valet, marchant devant sans regardait en arrière si le valet suivait ses pas. Après des heures de marche, ils s'arrêtèrent pour reprendre leurs souffle. La demoiselle était épuisée, autant moralement que physiquement. Ses membres lui causé milles douleurs, elle n'avait jamais autant souffert exceptée le jour où elle apprit la mort de son père..la douleur avait était aussi physique que moral. La nuit était tombé, les brises glacés faisaient leurs apparitions, Hermione tremblait par le froid et la peur. Si elle était courageuse c'était surtout la journée, le soir elle avait trop qu'entendue les fables des conteurs qui parlaient de monstres surgissant la nuit pour venir terroriser les villageois. Heureusement, la présence de Merlin auprès d'elle la rassurait quelque peut. Au moins, si une chose surnaturel devait apparaitre ils seraient deux à combattre pour leurs survies. La cime des arbres dansait avec le vent, les ombres crées des étranges apparitions qui donnait des frissons d'effrois à la jeune fille. La voix de Merlin fit sursauter Hermione. Il lui parlait de camper ici. L'idée déplaisait fortement à la jeune demoiselle, cette forêt était bien trop sombre et semblait même maléfique. De plus, sa mère l'attendait. Mais, le valet était déjà entrain de ramasser des brindilles. S'ils continuaient, ils pouvaient tout aussi bien tomber sur des choses horribles. Dilemme, mais, le jeune homme ne semblait ne lui donnait guère le choix. Merlin lui proposa sa couverture, la demoiselle la refusa poliment. Son ventre fit alors des siennes. Hermione n'avait même pas pensée à prendre de quoi se nourrir. Au moins, s'ils mouraient ni de froid , ni de peur, ils mouraient de faim. Excepté si la forêt leurs donnait de quoi remplir leurs ventre, seulement pour cette nuit.

▬ Je vais, cherchais des champignons, ça devrait suffire pour ce soir.

Sans demandait son reste, la belle s'en alla seule dans les bois. La lune était assez ronde et clair pour éclairer quelques peut Hermione dans ses recherches. Elle trouva quelques champignons qu'elle jugea comestibles et non venimeux, grâce à ses études antérieurs elle avait apprit diverses choses que l'ont pouvait cueillir dans la foret. Hermione aurait jamais crut devoir les mettre en pratique un jour. La demoiselle revient donc avec ses victuailles. Elle était tout de même satisfaite de sa cueillette qui n'était pourtant pas très glorieuse. Affamée et épuisée elle s'assit sur le sol poussiéreux face au feu qui éclairer le modeste camp. Heureusement, sa mère était non pas sans surveillance car, avant de partir Hermione avait pensée frapper chez la voisine pour lui demander de surveiller l'état de sa mère. La noble femme avait acceptée sans rien demander en échange, ce qui aurait pas été le cas si cette femme était de la haute noblesse. Hermione aurait jamais crut qu'un jour, que toutes ses choses allait lui arriver. Quand on vie dans le luxe, on ne s'imagine même pas que le rêve doré s'achève un instant.

▬ Je tiens à vous remerciez encore une fois pour tout ce que vous faites pour nous.

Malgré leurs âges quasi-proche, Hermione avait prit pour habitude de vouvoyer tout le monde même ses parents. C'était une marque de profond respect et cela faisait partit de son éducation de jeune noble. Une fois que les bases sont rentrées nous, ne pouvons plus les oubliez aussi facilement.

En ramassant des brindilles, Merlin entendit le ventre de la demoiselle grogné de faim. Ça lui fit sortir un petit rire discret dont la jeune fille n'entendit pas.

Hermione :-- Je vais, cherchais des champignons, ça devrait suffire pour ce soir.

La jeune fille partit cherché des champignons et Merlin en profita pour allumer le feu avec sa magie. La demoiselle étant trop loin n'entendit pas le jeune sorcier prononcé une formule magique. Le feu s'alluma et grandit à la demande de Merlin. Il nettoya le sol en enlevant les feuilles qui se trouvait par terre pour pouvoir s'assoir.
Merlin se dit alors que quand il rentrera il aura une surprise, Arthur pour lui tirer les oreilles. Merlin avait oublier de le prévenir et Arthur déteste ça mais quand le jeune homme lui aura raconte l'histoire , le jeune prince se calmera.
Quand la jeune fille revenue, elle avait une petite douzaines de champignon, avec un sourire glorieux.

Hermione :-- Je tiens à vous remerciez encore une fois pour tout ce que vous faites pour nous.

Merlin prit la couverture et la posa sur les épaules de la jeune fille. La pauvre elle était fatigué et malheureuse. Elle passe temps d'épreuve en se moment qu'elle n'en peut plus. Merlin lui avait promit qu'elle retrouvera son titre mais cela ne sera pas chose facile.
Les deux jeunes se réchauffèrent grâce a ce feu flamboyant, mangea de délicieux champignons cueillit par la demoiselle. Ils allerent vite se coucher pour repartir à l'aube.

Le lendemain matin, Merlin se réveilla le premier. Aillant l'habitude avec Arthur de dormir à la belle étoiles et de se réveiller tôt. Il refit partir le feu pour réchauffer la demoiselle avant son réveil . Il alla lui aussi cueillir quelque chose pour le petit déjeuner. Mais Merlin fit une mauvaise rencontre. Des garde du royaume ennemie était rentrée dans notre royaume. Merlin se cacha pour pas qu'ils le voyant. Ils étaient dix. Merlin ne pouvant pas laissé tomber Hermione, il ne put prévenir les gardes de Camelot alors il dut se chargé de ces visiteur indésirables. Grâce à son dont de Télépathe, il réveilla la demoiselle sans bouger de place.

* Hermionne réveillez-vous, ne faites pas de brut. Venez vers moi.*

Le silence de Merlin était assez pesant pour la jeune demoiselle, elle l'avait certes toujours connut silencieux mais, Hermi aurait pensé qu'il serait plus bavard ce soir-là. La belle aux cheveux d'or s'assit à terre et le jeune homme en profita pour poser sur ses épaules la couverture, aussitôt mis elle s'emmitoufla dedans et murmura un merci à peine audible. Ses yeux céruléen lui piquaient et elle penchait la tête légèrement. Au final, même s'ils auraient continuer la route, Hermione n'aurait jamais pu tenir jusqu'au bout. Le feu ardent réchauffer les deux jeunes gens. Le regard vide, dénoué de toutes esprits, l'esprit vague, Hermione mangea plus par contrainte que par conviction. A la fin du repas, ils allèrent se coucher directement et à peine la tête posée à terre que l'Aubigné dormait profondément. Ce soir-là, Orphée peupla la nuit de la belle avec de jolis rêves. Elle se voyait à la Cour du Roi Uther, celui-ci lui redonnait son titre, sa mère était bizarrement absente mais, cela ne choqua même pas l'esprit de évanescente Hermione. A la Cour, tous la regardaient avec admiration et respect car, cette jeune femme avait traversée tant d'épreuves et de malheurs qu'elle méritait au moins cela. Parmi tout ces nobles, ce trouvait un jeune homme séduisant, il faisait la cour à Hermione, seulement dans son rêve, le visage du jeune soupirant était flou. Ils passèrent nombreuses journées ensembles à batifoler et s'aimaient. On les enviaient pour leurs bonheurs mais, tous étaient satisfaits car, la Duchesse d'Aubigné venait enfin de retrouver le sourire, la joie de vivre.

Merlin ▬ * Hermione réveillez-vous, ne faites pas de brut. Venez vers moi.*

Le jardin où se trouvait Hermione disparut ainsi que son soupirant. Le rêve laissa place à la réalité, le froid était revenus ainsi que la forêt où elle s'était endormis. La demoiselle aurait donné n'importe quoi pour ne jamais se réveiller et poursuivre son rêve mais, la voix de Merlin était insistante, la belle du ouvrir malgré elle les yeux. Le soleil vint lui berçait son visage de soie, elle se frotta légèrement les yeux et s'étira. Le valet était nul part, pourtant elle avait bien crut l'entendre ? Devenait-elle folle ou bien était-ce les reste de son rêve ? C'est là qu'elle entendit des pas lourds semblables à une éclaireurs. Naive peut-être mais, pas inconsciente, Hermione éteignit le feu et se cacha dans les buissons, ces-là qu'elle tomba nez-à-nez avec Merlin qui se cachait aussi. Elle faillit hurler d'effroi mais, son cris resta enfermait dans le fond de sa gorge. Immobile et encore embrumée elle le regarda comme s'il était un mirage. En quelques instants elle retrouva ses esprits et prit place près du jeune homme, c'est là qu'elle vit à qui appartenait les pas lourds. Des garde du royaume ennemi. Le regard d'Hermione s'agrandit, elle n'avait encore jamais vu l'ennemi en face d'elle et le moins qu'on puisse dire c'était que le spectacle qu'ils lui offraient était assez impressionnant pour une fille comme elle. Stupéfaite, Hermi chercha le regard de Merlin à l'attende d'un plan. Après tout, il était un homme c'était à lui de la défendre et en cas de soucis et bien la belle se mettrait à combattre avec ce qui passerait sous sa mains: Un tronc d'arbre faute de mieux. Car, si son éducation militaire était faite, elle n'avait point d'arme ce qui pouvait légèrement posait problème sans compter que sa robe n'était pas faite du tout pour le combat, elle risquerait même de la gêner plus qu'autre chose. La peur commençait à s'installer en même temps que le courage. Il n'y a pas de peur sans courage disait-on ce qui était vrais. Car, c'est poussé par la crainte de mourir que nous faisons des gestes insensés mais, parfois ô combien sauveur. Méthodiquement, Hermione retira la chevalière de son défunt père et se mit à prier silencieusement. C'était sans doute une petite broutille pour le jeune Merlin mais, pour Hermione c'était sa première bataille ou là elle ne pourrait plus jouer à faire semblant de terrasser l'ennemi.

Hermione rejoignit le jeune sorcier et découvrit à son tour les gardes. On voyait bien qu'elle n'avait jamais fait face aux ennemis car elle tremblait comme une feuille et était à deux doigt de crier a l'aide. Elle regarda, inquiète, Merlin qui cherchait comment arrêter ces gardes sans blesser la demoiselle et surtout, si il utiliserait la magie, qu'elle ne découvre pas son secret. Puis elle pris la chevalière de son père et commença a prier. Le jeune homme trouva ça inutile car il savait qu'ils repartiraient de ce piéger sans problème mais ne savait pas encore comment. Mais étant dans la forêt, plein de branches, de pommes de pain étaient au dessus de ce groupe de gardes. Merlin trouva une solution pour pouvoir partir en arrêtent les ennemis . Il se pencha vers la jeune fille pour lui dire son plan. La demoiselle fini sa prière puis écouta le jeune sorcier. Il parla a voix basse pour pas que les gardes l'entendent.

-- Écoutez moi, j'ai un plan mais j'aurais besoin de vous. N'ayez crainte je ne vais pas vous demandez de courir à la mort en vous jetant vers l'ennemi bien au contraire. Partez vers votre mère, je vous rejoignerais. J'ai l'habitude de cette situation.

La jeune fille hésita mais vit que Merlin était sur de lui. Il lui tapa doucement sur l'épaule pour lui faire comprendre qu'elle pouvait partir. Elle hésita encore mais fini par partir car elle se souvenue que sa mère l'attendait. Le jeune sorcier attendit que la demoiselle soit plus à porter de vue pour utiliser sa magie. Il se leva et se plaça a quelque mètre des gardes derrière eux. Il regarda vers le haut pour cherche une branche a faire tomber sur le premier garde. Il y en avait une qui allait bientôt craquer d'elle même alors il la fit tomber d'une penser. La branche tomba comme prévue sur le premier garde et surpris, les autres se tourna pour comprendre comment et qui avait fait ça. Ils virent alors Merlin derrière eux à environ cinq chevaux d'eux. Le plus près du jeune prit son épée, la pointa vers le ciel en criant et couru en direction de Merlin. Celui-ci envoya cette fois une autre branche vers le garde qui courait vers lui. Il tomba plus vite qui couru. Merlin en profita pour prendre son épée et commença a se battre. A force de s'entrainer avec Arthur, il commençait a se débrouillé.
Il réussit a en arrêter six mais les deux dernier lui donna du file à retordre. Il donna un grand coup de coude sur le neuvième. Le dernier commença a s'en fuir mais Merlin ne voulant pas faire ébruiter son secret envoya l'épée d'un soldat mort sur celui qui fuyait. Il tomba tout de suite après.
Le jeune sorcier partit a la recherche de la demoiselle. Elle était déjà rendu a deux lieue de la. Il l'appela mais elle n'entendit pas, il l'appela une seconde fois mais plus fort et la elle se retourna. Elle le vit et s'arrêta pour l'attendre. Quand le jeune la rejoignit, la jeune fille cria. Ne comprenant pas, Merlin lui posa la question pourquoi elle criait. Elle lui désigna le bras de Merlin qui saignait. Il n'avait pas sentit la plaie qui était plus profonde que toute seule qu'il s'était déjà fait. Il coupa son T-shirt pour faire un garrot pour arrêter le saignement.

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