Où sommes-nous ? | Feat Peter |

Depuis temps d'années je connais Peter, Peter Parkins. Une même passion, les légendes arthurriennes et merliniennes. Mais à mon gout c'est plus qu'une passion. Il y a quelque temps j'ai cherché l'histoire de mes ancêtres et j'ai découvert que je descendais du grand Merlin
Chez moi de père en fils, nous avons un don. Je suis comme mon grand ancêtre, je suis un magicien. Les tours de magie ça me connait. Et Peter à mon gout ressemble tellement au roi Arthur du côté caractère que du côté physique qu'il doit lui aussi descendre d'Arthur. Alors quand nous interprétons le rôle de nos légendaires héros on s'éclate tellement.
Mais aujourd'hui on n'aurait jamais pensé ce qu'il allait nous arriver. Alors que l'on se promenait après nos cours du vendredi. Je sortis une langue que je n'avais jamais prononcer. On aurait dit du Latin, moi qui n'a jamais fait du Latin... Tout autour de nous se transforma comme par magie. Puis quand tout s'arrêta nous n'étions plus au même endroit. On était à côté d'un petit ruisseau où je me regardais dedans et d'un coup on se retrouve au bord d'un lac avec une montagne derrière. Je connaissais déjà ces lieux, mais d'où ? Ça y est, je me souviens. Je prie mon livre de mon sac. Ce livre parle justement des légende arthurienne et j'avais vu un dessin qui ressemblait à ce lieu. Freya celle que Merlin aimait. Mon descendant était passé dans ces lieux. Nous venons de voyager dans le temps et nous nous sommes retrouvé à l'époque du Roi Arthur et de mon grand ancêtre. Maintenant ce n'est plus un jeu, mais la vraie vie.

- Peter enlève ta veste et déchire ta chemise, dis-je en entendant des bruits de pas. Je crois que nous venons de voyager dans le temps et que nous sommes à la même époque que le roi Arthur, mais a quel moment je ne sais pas.

Je passai ma main dans mes cheveux pour enlever le gel que j'avais mis ce matin. On partit se cacher derrière des arbres quand nous voyions les gardes de Camelot, vue la couleur de leurs armures, faire leurs rondes. Petezr et moi, nous nous regardions et compris qu'il ne fallait pas faire d'erreur car si l'on change ce présent, nous pourrions changé notre présent.

Combien d'années je connaissais Aymeric ? Depuis très longtemps déjà ! On avait tout fait ensemble ! La maternelle, la primaire, le collége ! On partageait même une passion commune : les légendes arthuriennes ! D'un autre côté, ça ne m'étonnait pas car lui, il avait un truc que personne n'avait, ni même moi : c'était un magicien ! Un jour, il m'avait avoué qu'il descendait de Merlin ! Le grand Merlin ! Il ne manquait plus que je sois un descendant du roi Arthur ! Durant notre temps libre, on s'amuse à rejouer nos héros d'enfance, moi faisant bien évidement le roi Arthur et mon cher acolyte son fidèle conseiller. Mais parfois, on s'imaginait qu'ils avaient le même âge ! Il arrivait même qu'Aymeric me traite de tête de cuillère quand je fais mon prétentieux et mon arrogant. Au début, je le prenais mal mais à présent, je m'en fous complètement et pour rire encore plus, je sourie en prenant cela comme un compliment.

Aujourd'hui aurait du être une journée des plus ordinaires. J'avais vu Gwen, mon ex, au bras de ce crétin de Lance ! Et dire que j'avais été ami avec lui et je lui avais présenté ma copine ! Sale hypocrite ! Il avait flashé sur elle dés le premier regard ! Si je descendais d'Arthur, ça devait être une malédiction ! Heureusement, je sais bien que j'ai une soeur et elle au moins, c'est un véritable petit ange même si elle s'appelle Morganne ! De toute façon, c'est moi qui avait insisté pour que l'on l'appelle Morganne !

Donc, je disais... Cela devait être une journée comme les autres ! Les cours un peu chyants ! Les profs aussi ! J'avais presque envie de dormir au cours d'histoire mais heureusement, c'était le dernier jour de la semaine ! Ah j'avais trop hâte de rentrer chez moi et de passer la soirée chez Aymeric. Oui, parfois, je dormais chez lui le vendredi et même le samedi ! Dés que les cours furent finis, je poussais un soupir de satisfaction.

- Encore une heure de plus j'ai cru que j'allais m'endormir pendant la bataille de ... de quoi déjà ? Enfin bref !

Mon meilleur ami et moi, on passa prés de Lance et Gwen. Lance avait fait tomber quelque chose et moi j'ai shoté dedans. Je pouvais être rancunier mais il n'avait qu'à pas me piquer ma copine ! Une fois qu'on fut dehors, Aymeric se mit à parler en latin ou un truc dans le genre. Je fronçais les sourcils. Depuis quand il parlait latin ? On n'avait d'ailleurs jamais étudié cette langue à l'école ! J'allais répliquer lorsque tout changea autour de nous. Comme si on allait quelque part par magie ! Ben justement c'était le cas ! Nous étions dans une forêt maintenant, en face d'un grand lac. Où est-ce qu'on avait atterri ? Je vis Aym sortir son livre des légendes arthuriennes.

Aymeric : - Peter enlève ta veste et déchire ta chemise. Je crois que nous venons de voyager dans le temps et que nous sommes à la même époque que le roi Arthur, mais a quel moment je ne sais pas.

- Quoi ? T'es pas sérieux ? Ma mère va me tuer si elle voit ma chemise déchirée !

Je vis comme même qu'il était sérieux pendant qu'il essayait en d'enlever le gel de ses cheveux. Moi j'avais beau tout faire pour bien me coiffer le matin, mes cheveux étaient toujours en bataille. Contrairement à mon meilleur pote, je n'avais pas déchiré ma chemise mais j'avais retiré ma veste. On alla se cacher derrière des arbres lorsque vous voyions des gardes de Camelot à la vue de la couleur de leur uniforme. Aymeric et moi, nous nous regardions. La moindre erreur de notre part, le moindre changement dans l'histoire et tout ce qu'on avait connu pouvait être modifier.

- Aymeric, mon vieux, on est mal ! Mais mal de chez mal ! Il nous faut une histoire bidon pour expliquer notre présence !

On était dans la galère, comment allons nous faire pour expliquer notre présence ici ? Et nos parents allaient-ils voir notre disparition ? Quand on rentrera je sens qu'on va se faire allumer. Enfin si on arrive à rentrer, car rien n'est gagné.
Peter n'avait pas déchiré sa chemise, mais avait enlevé sa veste. Mais le gros problème dans notre style vestimentaire, c'est le jean. Eh oui, à cette époque ils ne connaissent pas les jeans. Il fallait qu'on trouve des pantalons en toiles, mais où, nous ne savons même où nous nous trouvons. Il faut que nous arrivions dans le village le plus proche au plus vite, mais par quelle direction doit-on allé ?

-- Peter, nous devons trouver de nouveaux pantalons et sachant que nous n'avons pas le moyen de payer je crois que nous allons devoir voler. Je me mordis les lèvres en prononcent ces derniers mots.

Ma curiosité me fis fouillé dans mon bouquin là où j'avais vu le dessin du lac. Des images en plus se misent dans mon esprit, comme si je venais d'avoir une vision. Cela ne m'était jamais arrivé avant. Cette vision me montrait un chemin tout près d'ici. Je me mie à avancer pour le trouver sans m'occuper du reste autour de moi. Je ne sais même pas si mon ami me parlait ou non, car je ne voyais que ma vision. Je me voyais avancé vers un chemin où l'on pouvait voir tout au bout, de la fumée. Les images avançaient de plus en plus vite et je courais au même rythme. Quand je tombais à cause d'une racine, toutes les images de ma tête disparaissaient et je transpirais comme si je venais d'avoir de la fièvre. Que venait-il de m'arriver ? Pourquoi maintenant ? Est-ce notre destin de venir à cette époque ? Je me pose de question, nous devons trouver au plus vite des vêtements.
Tout à coup, je vis que je n'étais plus au lac, mais à l'entrée d'un village. Je me retournais et ne vis pas Peter. Ou était-il ?

-- Peter ou es-tu ??
Criais-je en évitant que les villageois m'entendent.

Ayme proposa que l'on se trouve de nouveaux pantalons. Bonne idée et tant qu'il y ait, qu'on s'habille carrément comme au moyen-âge ! Remarque, on n'aura certainement pas le choix sauf si j'ai presque la même tenu qu'Edmund dans « Narnia 3 » ! Oh purée, qu'est-ce que j'adore sa veste en cuir ! Il me faut absolument la même !
Je vis bien que ça dérangeait à Aymeric de voler pour changer de vêtement mais il y avait forcément une autre solution. Moi aussi, ça ne plaisait pas trop l'idée de voler de l'argent quoique je l'ai déjà fait plus d'une fois à mes parents mais ils ont jamais rien capté ! Je vis mon pote fouiller dans son sac après son grimoire. Il le porte toujours sur lui au cas où ! Ouais, ben, on en aurait super bien besoin ! Tout à coup, je le trouvais étrange. Il avait l'air comme en transe. Je jetais un oeil aux hommes du roi et je fus rassuré de ne plus les voir mais lorsque je reportais mon attention sur Aymeric, il avait disparu.

- Aymeric, où es-tu ? Ah ça va mal finir cette histoire !

Je me mis alors à la recherche de mon ami en prenant mes affaires mais j'étais complètement perdu dans cette forêt immense. Y a un village pas loin d'ici ? Je décidais d'aller au hasard. Un peu plus tard, j'aperçus au loin un château et une cité. Peut-être qu'Aymeric se trouvait là et par chance, qui est-ce qui je vois à l'entrée : Aymeric !

- Où est-ce que t'étais passé ? Merci de m'avoir laissé en plan là-bas !

Soudain, un garde vient dans notre direction. Bon c'est vrai qu'on était habillé bizarrement mais avec mon imagination débordante – plus celle d'Ayme – j'allais vite régler ce problème ! Mais c'était sans compter sur le garde qui semblait beaucoup regarder ma chevalière.

Garde : - Où avez-vous eu cette chevalière mon seigneur ?

- De mon grand-père ! Elle se transmet de génération en génération ! Pourquoi ?

Garde : - C'est le symbole des Pendragon que votre chevalière porte sire ! Etes-vous un pendragon ?

- Peut-être ! Je ne sais pas ! Mon ami et moi venons de très loin vous savez !

Je me tournais vers Aymeric. Pendragon ? Est-ce que ça voulait dire que j'étais un descendant du grand roi Arthur ? Si c'était le cas, ce serait trop cool ! Il n'y aurait pas qu'Aymeric qui aurait dans ses ancêtres un des personnages célèbres de Camelot !

Garde : - Veuillez me suivre jusqu'au roi Uther !

- Euh ben d'accord !

Je m'approchais d'Aymeric et sachant qu'il pouvait lire dans mes pensées, j'en profitai pour lui demander un truc :

* Au temps d'Uther, la magie n'était pas interdite ? *

J'étais toujours à l'entrée du village quand derière moi j'entends Pet' arrivé avec joie quand il m'a vue. Je ne sais pas ce qui vennait exactement de ce passé mais en tout cas nous étions sain et sauf. Mais malheureusement un garde s'approcha de nous, avec notre tenue il devait bien se demandé d'où nous venions. Mais on dirait qu'il se fichait de nous, il était intrigué par la chevalière de Peter. Le garde regardea la chevalière et demanda a mon ami où il l'avait. Depuis le temps que je vois cette chevalière sur le doigt de Peter, je ne m'était jamais demander moi aussi d'où elle venait, juse qu'il se le passait de père en fils normalement. Quand le garde prononça le nom des Pendragon j'ai été... enfin aprendre que son ami est lui aussi descendant d'une légende. Il était le descendant d'Arthur. Mais ce n'était pas ça le problème car quand le garde nous demanda de le suivre pour aller voir Uther, un noeud attroce se forma dans mon ventre. Surtout que je ne suis pas un bienvenue dans sa cour puisse que je suis un sorcier tout comme mon ancêtre.
Peter s'approcha de moi et je lis dans ces pensée :


Peter : * Au temps d'Uther, la magie n'était pas interdite ? *

Je le regardais avec tristesse et lui fis signe de la tête que Oui. Il ne fallait pas que nous arrivions chez Uther. Bornée comme il est, il pourrais demandé notre exécution pour avoir porté sa chevalère, bien que c'est celle de Pet'. Je devais me concentré pour trouvé un plan. Comment echappé au garde et réussir à s'enfuire pour ne pas croissé la route d'Uther.
Après une centaine de mêtre auprès des gardes j'ai pensé au jour où Merlin a sauvé le jeune Mordred des gardes. Il pourrait nous aider lui.Il fallait que j'en parle à Peter avant car ce n'ai pas une chose à prendre à la légere, notre vie est en jeu et nous sommes trop jeune pour mourir sous les ordre du roi Uther. Je regardais Peter pour qu'il tourne là tête vers moi :

-- Peter il ne faut pas qu'Uther nous voit avec ta chevalière. Bornée comme il est, il pourrait nous tué pour ça. Il faut qu'on part et vite.

Nous étions bientôt arriver je le sentais, plus qu'une miute ou deux et nous serrons bloqué. Si nous nous sauvons avant d'arrivé au château, nous aurions plus de chance de semé les gardes.

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